"Depuis la première loi sur le pass sanitaire, je dois être à une trentaine de menaces de mort" raconte une députée LRM

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Pboulanger Prés.
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"Depuis la première loi sur le pass sanitaire, je dois être à une trentaine de menaces de mort" raconte une députée LRM

Message par Pboulanger Prés. »

Bonjour à tous,

Lu sur https://www.francetvinfo.fr/sante/malad ... S-3-[sante]

Covid-19 : "Depuis la première loi sur le pass sanitaire, je dois être à une trentaine de menaces de mort", raconte une députée LREM 

Patricia Mirallès, élue de l'Hérault, affirme avoir porté plainte à chaque fois. 
 
 
franceinfo
Radio France
Publié le 30/12/2021 22:12

Mis à jour le 31/12/2021 07:12
 
  Image
La députée Patricia Mirallès, à l'Assemblée Nationale, en 2018. (THOMAS PADILLA / MAXPPP)
 
"Depuis la première loi sur le pass sanitaire, je dois être à une trentaine de menaces de mort, de décapitation. Ce n’est pas rassurant, surtout qu’il y a des passages à l’acte", relate sur franceinfo, jeudi 30 décembre, Patricia Mirallès, députée LREM de l’Hérault. Le ministère de l’Intérieur a recensé 1 255 atteintes aux élus entre 1er janvier et 24 octobre 2021.
 
"J’ai porté plainte à chaque fois, explique Patricia Mirallès. Que l’on soit élu ou pas, nous ne devons pas considérer qu’on puisse se faire menacer de mort." Pour elle, ces menaces sont essentiellement une réaction aux décisions sur les pass sanitaires et la vaccination.
 
"On a la chance d’avoir ce vaccin, et on nous menace parce qu’il nous empêcherait de vivre, d’avoir une pleine liberté. Je ne suis pas d’accord." 
 

"Ce qui m’empêche de dormir la nuit,
ce ne sont pas les menaces,
c’est cette pandémie qu’on n’arrive pas à enrayer."
Patricia Mirallès, députée LREM de l'Hérault
à franceinfo

Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a demandé ce jeudi aux préfets de faire surveiller les abords des permanences des parlementaires et leur domicile. Une proposition que Patricia Mirallès regrette mais comprend. "Chacun a le droit d’avoir une vie privée au-delà de sa vie professionnelle." Elle ajoute : "Il y a des professions qui ne plaisent pas à tout le monde. Mais on n’a pas le droit de venir menacer ces personnes chez elles."



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